Jour 3 la suite

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Jour 3 – La suite

Une matinée particulière pour tous puisque le groupe est divisé en deux : les 4ème et les 3ème vont visiter le camp de concentration de Dachau tandis que les 5ème et les 6ème iront contempler les merveilles du jardin botanique ainsi que les longues façades du Schloss Nymphenburg (Lieu de naissance de Louis II de Bavière, celui d’hier. Vous suivez ?).

Le ciel est bas, gris, menaçant, le vent se fait discret, la température ne dépasse pas les 10 degrés, quelle belle journée de mars sur la Bavière !

Naturellement, Munich ne se fait pas surprenante et propose, pour ne pas changer, toute sa panoplie de ralentissements et d’embouteillages qui font le charme des villes modernes. Bref, nous mettons un temps infini à larguer les plus jeunes avant d’en perdre encore plus pour parvenir, entre travaux et ponts trop bas, au camp de sinistre mémoire.

Petite déception donc, nous avons peu de temps pour nous informer au musée fort bien documenté, visiter les baraques des prisonniers ainsi que les installations autour du four crématoire. C’est poignant, intéressant et malheureusement un peu vite expédié en raison des contraintes imposées par le programme de l’après-midi.

Pendant ce temps, l’autre groupe découvre la joie de visiter des serres tropicales quand il fait froid et s’enthousiasme devant la myriade d’immenses papillons multicolores.

Le pique-nique est vite expédié, pour les uns devant le château, pour les autres devant le sujet de la prochaine visite, le stade du Bayern de Munich.

Vidéo Allianz Arena

Nous voici divisés de nouveau en deux pour la découverte en allemand et en anglais de ce haut lieu de gloire footballistique…. Et finalement, cette visite que nous devons à la jeune Margaux, se révèle très intéressante, impressionnante aussi, avec cette débauche de moyens pour du pied-ballon. Le musée avec ses coupes et ses vieux maillots puis la boutique avec ses trucs laids remportent un franc succès, Mathéo et Louane confondent l’entrée et la sortie, normal. On rentre. La suite, plus tard, il y a des bouchons, étonnant, non ?